Hugo Roellinger, à Cancale : "L'été incite à une cuisine qui évolue : la mer n'est pas pareille, la température de l'eau, les odeurs sont différentes ; c'est ce qui m'anime"
L'été des chefs •page 5
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Kelly Jolivet, à Paris : "J'ai rouvert mes classiques, ainsi que le livre de cuisine de ma grand-mère, qui m'a initiée aux bons produits savoyards"
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Christophe Moret, à Reims : " Moi, je suis rôtisseur saucier, la sauce harmonise le plat et le met en action ; l'été on va chercher davantage de légèreté et plus de fraîcheur"
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Didier Clément, à Romorantin : "Notre maison, c'est deux siècles et demi de tradition d'auberge et de gastronomie"
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David Boyer, à Oléron : "Cette île a un côté à la fois sauvage et tranquille, c'est très inspirant"
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Marcel Ravin, à Monaco : "Le créole n'est pas qu'une langue, c'est un monde : ma cuisine est donc une cuisine du monde"
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Léa Fleuriot, à Paris : "L'été, pour moi, c'est la mer, et ici j'aime cuisiner du poisson."
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Jacques Decoret, à Vichy : "Je réalise une cuisine d'auteur où chaque plat raconte une histoire"
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Nicolas Masse, à Martillac près de Bordeaux : "J'assemble mes assiettes comme on peut assembler un grand vin, il faut tout un équilibre pour arriver à un produit parfait"
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Guillaume Sourrieu, à Marseille : "je n'ai plus de carte, mais des menus qui s'appellent Fanny, Marius et César parce que j'ai été baigné dans mon enfance par Pagnol"
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Suzanne Waymel, à Rouen : "À L'Odas, les clients ne savent pas à l'avance ce qu'ils vont manger, le défi étant qu'ils ne goûtent jamais deux fois la même chose"
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Laurent Trochain, dans les Yvelines : "Je n'ai jamais voulu être pompier, j'ai toujours voulu devenir cuisinier !"
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Chloé Charles, à Paris : "Lago est un restaurant qui ressemble à un appartement, on y vient en famille ou entre amis pour se sentir comme chez soi"
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Grégory Garimbay, à Paris : "Ma cuisine est basée sur le végétal, la minéralité et le côté iodé"