: Vidéo Vaccination obligatoire : comment Emmanuel Macron a changé de discours
/2021/12/14/61b8b9866161f_brut.png)
Le 4 décembre 2020, il déclarait sur Brut qu'il était opposé à la vaccination obligatoire. Voilà comment la position d'Emmanuel Macron a évolué.
"Je ne crois pas à la vaccination obligatoire pour ce vaccin. Je crois beaucoup plus au travail de conviction par la transparence qu'à l'obligation." Voilà ce qu'affirmait Emmanuel Macron le 4 décembre 2020 lors de son interview chez Brut. En 7 mois, Emmanuel Macron a changé de position. Opposé à la vaccination obligatoire, il l'impose désormais aux soignants et l'envisage pour l'ensemble de la population. Encore très récemment, le président de la République affirmait que sa volonté était davantage de convaincre que de contraindre. "Mon souhait, c'est de convaincre tout le monde que c'est par le vaccin que nous pourrons nous en sortir. Il faut qu'il y ait entre 70 et 80 % qui soient vaccinées ou qui aient les anticorps pour que le virus s'arrête de circuler au sein du pays", a-t-il déclaré.
De la pédagogie à l'obligation
Aujourd'hui, face à la propagation de variant Delta, le chef de l'État change de discours. "Dans un premier temps, pour les personnels soignants et non-soignants des hôpitaux, des cliniques, des maisons de retraite, des établissements de personne en situation de handicap, pour tous les professionnels ou bénévoles qui travaillent au contact des personnes âgées ou fragiles, y compris à domicile, la vaccination sera rendue obligatoire sans attendre", a-t-il annoncé ce lundi 12 juillet n'excluant pas la vaccination obligatoire pour tous les Français : "En fonction de l'évolution de la situation, nous devrons sans doute nous poser la question de la vaccination obligatoire pour tous les Français mais je fais le choix de la confiance et j'appelle solennellement tous nos concitoyens non vaccinés à aller se faire vacciner dès aujourd'hui au plus vite."
À regarder
-
Sébastien Lecornu : "Les ministres (...) n'auront pas le droit à des indemnités"
-
7-octobre : la douleur des Israéliens
-
Élection presidentielle anticipée ? La réponse de B. Retailleau
-
Tirs de kalachnikov : la balle frôle la tête d'une fillette
-
La dépénalisation de l'homosexualité, l'autre combat de Robert Badinter
-
Des mineures pr*stituées issues de l’ASE
-
Mistral AI : la pépite française qui défie les géants de l'IA
-
Il part à la chasse aux polluants
-
Dissolution, cohabitation... 5 scénarios pour sortir de la crise politique
-
Goncourt des lycéens : et toi, tu lis quoi ?
-
Bernard Pivot à Robert Badinter : "Si Dieu existe, qu'aimeriez-vous qu'il vous dise ?"
-
Exclusif : à bord du premier cargo à voile
-
Instabilité politique : du jamais vu sous la Vè République
-
Soldats ukrainiens : 12 points par Russe abattu
-
Comment Amazon veut distancer Temu et Shein
-
"Rentrer dans un gouvernement ? Un gouvernement de qui ?"
-
Procès Jubillar : l'alibi de l'amant en question
-
Vols d'or : la psychose des bijoutiers
-
7-Octobre : deux ans après, l'hommage aux victimes
-
Crise politique : l'Europe redoute le chaos en France
-
Typhon en Chine : des milliers de déplacés pour échapper aux vagues
-
À peine nommés, déjà démissionnés : qui gère le pays ?
-
Des jupes pour le personnel masculin d'Eurostar
-
Greta Thunberg maltraitée en Israël ?
-
Ce jeune meurt en voulant échapper à son expulsion
-
Avec les fans de Taylor Swift au Grand Rex à Paris
-
Violence dans les avions : des passagers trop turbulents
-
Procès des viols de Mazan : Gisèle Pelicot face à un dernier accusé
-
Grand-mère pyromane : condamnée pour 11 incendies
-
Fraude fiscale des banques : des milliards d’euros évaporés ?
Commentaires
Connectez-vous ou créez votre espace franceinfo pour commenter.
Déjà un compte ? Se connecter