Intempéries : la France, terre de contrastes

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Article rédigé par franceinfo - T. Baïetto, V. Gaglione, E. Cléac'h, C. Chabaud, C. Vignal, F. Cardoen, Images drones : Clément Le Calvé
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Le mois de janvier a été particulièrement arrosé. Il y a eu un excédent de pluie sur tout le territoire. Pourtant, toutes les régions ne sont pas logées à la même enseigne.

De l'eau à perte de vue sur les villes et les campagnes bretonnes : c'est la conséquence la plus frappante d'un mois de janvier très pluvieux sur le nord-ouest. Il n'avait jamais autant plu à cette période de l'année en Loire-Atlantique et en Ille-et-Vilaine. À Rennes (Ille-et-Vilaine), c'est même un record, tous mois confondus : il est tombé trois fois plus de pluie que la normale, soit 202,5 mm.

Un effet du réchauffement climatique

Une conséquence des trois tempêtes qui ont balayé la région : Eowyn, le 24 janvier, Herminia le 27, puis Ivo, le 29. "Ces perturbations, qui viennent de l'océan, ont toujours existé en hiver", souligne Patrick Galois, prévisionniste à Météo-France. "Par contre chaque perturbation donne en moyenne plus de pluie, parce qu'un climat plus chaud peut emmagasiner plus de vapeur d'eau", ajoute-t-il. De la pluie, mais pas pour tout le monde : dans les Pyrénées-Orientales, le déficit de pluie a dépassé les 60% en janvier.

Retrouvez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus

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