Nouveau Premier ministre : Sébastien Lecornu recevra les partenaires sociaux vendredi et lundi
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La nomination des ministres pourrait prendre du temps, alors que la préparation du budget vient de faire tomber le gouvernement de François Bayrou.
Ce qu'il faut savoir
[Ce direct est désormais terminé.] Il a écouté les siens, avant d'ouvrir sa porte aux oppositions et aux partenaires sociaux. Le nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu, a reçu des responsables des partis Renaissance, MoDem, Horizons et Les Républicains, jeudi 11 septembre, au lendemain de sa passation de pouvoir avec François Bayrou. Il a ensuite rendu visite à la présidente de l'Assemblée, Yaël Braun-Pivet, puis au président du Sénat, Gérard Larcher, ainsi qu'à l'ancien président Nicolas Sarkozy. Après cette matinée chargée, son après-midi a débuté avec la réception du président du parti centriste UDI, Hervé Marseille, à 14 heures. Le locataire de Matignon recevra les forces syndicales vendredi et lundi, a-t-on appris auprès de son entourage.
Sébastien Lecornu déjà impopulaire. La mission du nouveau Premier ministre, auréolé d'une réputation d'habile négociateur, est à haut risque dans un paysage politique éclaté et au vu des réactions très fraîches voire hostiles à l'annonce de sa nomination à Matignon. Dans un sondage pour Le Figaro, 69% des Français disent que sa nomination "ne correspond pas à leurs attentes" et 56% ont une mauvaise opinion de lui.
Un 10 septembre sous tensions. Après avoir pris ses fonctions à Matignon, mardi, le Premier ministre s'est rendu à 19 heures au centre interministériel de crise du ministère de l'Intérieur activé à l'occasion du mouvement "Bloquons tout". Le ministère de l'Intérieur a fait état de "596 rassemblements" et "253 blocages" réunissant "197 000 participants", dans un bilan établi en soirée. Au total, 675 personnes ont été interpellées en France, dont 280 à Paris, selon un bilan consolidé du ministère de l'Intérieur, jeudi.
L'émission "L'Evénement" de retour. A l'issue du journal de 20 heures sur France 2, Caroline Roux recevra Jordan Bardella, président du Rassemblement national, Carole Delga, présidente PS de la région Occitanie, Jean-Luc Mélenchon, fondateur de La France insoumise et Amélie de Montchalin, ministre démissionnaire chargée des Comptes publics, pour débattre de la situation politique inédite. Ils répondront à vos questions. L'émission sera à suivre en direct sur franceinfo.
Le Live
- Thibaud Le Meneecfranceinfo Il y a 0 sec#L'EVENEMENT Amélie de Montchalin sera-t-elle membre du gouvernement de Sébastien Lecornu ? "Je n'ai aucune garantie de rester. J'aime mon pays. Ce n'était pas du tout ma vie. Aujourd'hui, je ne viens pas vous parler comme quelqu'un qui veut un poste. On n'a qu'une chose, c'est notre sincérité", affirme-t-elle en conclusion de la partie de cette émission consacrée aux interviews de responsables politiques. #POLITIQUE
- Thibaud Le Meneecfranceinfo Il y a 0 sec#L'EVENEMENT Amélie de Montchalin pose la question de l'utilité des responsables politiques : "Si on ne prend pas nos responsabilités maintenant, on fait un boulevard à ceux qui n'ont aucune solution pour les Français", pointe-t-elle, en désignant le RN de Jordan Bardella et LFI de Jean-Luc Mélenchon. #POLITIQUE
- Thibaud Le Meneecfranceinfo Il y a 0 sec#L'EVENEMENT "Si nous ne réformons pas notre modèle social, les Français n'en voudront plus", assure Amélie de Montchalin. "C'est un grand débat pour la présidentielle, qu'on doit aborder maintenant", dit-elle à propos des cotisations sociales. #POLITIQUE
- Thibaud Le Meneecfranceinfo Il y a 0 sec#L'EVENEMENT "Il y a un débat sur la taxation des ultra-riches, (…) un débat mondial", affirme la ministre des Comptes publics démissionnaire. "Dans l'effort de rééquilibrage de nos dépenses et de nos recettes, quelle est la juste part des plus riches ? Je suis persuadée que ce n'est pas un tabou et qu'on peut faire des choses justes et caricaturales." #POLITIQUE
- Thibaud Le Meneecfranceinfo Il y a 0 sec#L'EVENEMENT "Jean-Luc Mélenchon veut la révolte, renverser le pouvoir, vous parle comme si vous étiez des cibles", lance Amélie de Montchalin à Caroline Roux. Quant à Jordan Bardella, il a "zéro fond, zéro concret", contrairement à Sébastien Lecornu, qui présidait le conseil départemental de l'Eure avant l'âge de 30 ans. #POLITIQUE
- Thibaud Le Meneecfranceinfo Il y a 0 sec#L'EVENEMENT Elue Renaissance, Amélie de Montchalin fait l'apologie du "compromis" pour sortir de la crise politique et soulager "des Français anxieux". "Il y a eu un moment, dans notre pays, où on a réussi à mettre d'accord les socialistes, les macronistes, Les Républicains", affirme-t-elle. #POLITIQUE
- Thibaud Le Meneecfranceinfo Il y a 0 sec#L'EVENEMENT Quatrième responsable politique à répondre aux questions de Caroline Roux, Amélie de Montchalin revient sur l'émission, où on a vu "des hommes et des femmes" montrer "comment les désaccords politiques les touchent". La ministre des Comptes publics démissionnaire insistent sur ce qui réunit les différents partis : "agir au service des Français", "assurer la cohésion nationale"… #POLITIQUE
- Thibaud Le Meneecfranceinfo Il y a 0 sec#L'EVENEMENT Le fait que le RN soit "aux portes du pouvoir" est "extrêmement préoccupant", assure Matthieu Pigasse. "Ce qu'ils nous proposent, c'est une société de la peur." #POLITIQUE
- Matthieu Pigassebanquier d'affaires Il y a 0 sec"Il est naturel pour moi que les citoyens démissionnent de la démocratie."#L'EVENEMENT Le banquier d'affaires Matthieu Pigasse, homme de médias classé à gauche, affirme sur France 2 que les inégalités ont atteint un "niveau insoutenable", ce qui explique en partie que les Français sont atteints de "fatalisme". #POLITIQUE
- Thibaud Le Meneecfranceinfo Il y a 0 sec#L_EVENEMENT Le journaliste économique Axel de Tarlé fait un point sur la taxe Zucman et ses possibles répercussions. Serait-elle inconstitutionnelle ? Mon collègue Paolo Philippe avait abordé la question ici. #POLITIQUEThibaud Le Meneecfranceinfo Il y a 0 secCarole Delga milite pour la mise en place de cette taxe : "Nous avons besoin d'avoir cette rentrée fiscale pour en générer d'autres à travers l'investissement dans les grands travaux, (…) pour permettre un allègement de la CSG pour avoir des salaires plus dignes", affirme-t-elle.
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