Labit : "C'est grand, c'est immense !"
L'entraîneur des arrières du Racing-Métro Laurent Labit a estimé que son équipe avait réalisé un "immense" exploit vendredi soir, en s'imposant contre le Stade Toulousain (21-16), à Toulouse, en barrage de Top 14.
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Q: Que ressentez-vous après cette victoire?
R: "C'est un exploit. On sait ce que ça représente de sortir Toulouse, à Toulouse, et qui depuis vingt ans fait les demi-finales. On se dit que tout ce qui a été dit sur nous tout au long de la saison, c'est quand même un peu bizarre. On est l'équipe qui a le plus gagné, le moins perdu. Et on parle de la saison +chaotique+ du Racing. Une fois de plus, on a pris un malin plaisir à mettre quelques pendules à l'heure. On est très fier du chemin parcouru et d'être encore en course. C'est grand, c'est immense, ce qu'on a fait, mais ce n'est pas encore la finale. La saison n'est pas finie, on a un match vendredi prochain face à Toulon (en demi-finale, ndlr). On sait qu'on aura un match encore plus difficile le week-end prochain, mais aujourd'hui, on est simplement fier des joueurs."
Q: Comment avez-vous vécu l'entame de seconde période sur les chapeaux de roues des Toulousains?
R: "On a été calme. L'entame de seconde période n'a pas été bonne pour nous. On savait qu'ils feraient du coaching comme à chaque fois qu'ils sont malmenés, qu'ils allaient prendre un +soufflon+, qu'ils allaient revenir avec des meilleures intentions. On s'est dit qu'il fallait être attentif, qu'ils allaient essayer de jouer vite. C'est ce qui s'est passé avec l'essai (de Gear), qui part d'une pénalité jouée rapidement de Vermaak. Leurs échecs au pied ont fait qu'ils n'ont pas pu prendre l'avantage psychologique au score, alors que nous, on a réalisé un 100%."
Q: Et le Racing a eu une conquête quasi sans faille...
R: "Un match de phase finale tourne souvent autour de la conquête, de la défense et de l'efficacité. C'est la recette des phases finales. On a été au rendez-vous dans ces domaines-là. La conquête a bien marché. On savait qu'il fallait les faire douter en mêlée. Il fallait qu'on soit capable de tenir le ballon. Avec la densité que l'on a, en tenant le ballon, on savait qu'on les mettrait en difficulté."
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