Coupe du monde de rugby : "La cérémonie d'ouverture n'aurait jamais dû nous opposer mais nous rassembler", regrette Jean Dujardin après la polémique
Moqué lors de la cérémonie d'ouverture du Mondial, jugée ringarde par nombre d'observateurs, l'acteur a regretté, jeudi, que son second degré n'ait pas été "compris".
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La cérémonie d'ouverture de la Coupe du monde au Stade de France avant la victoire des Bleus contre la Nouvelle-Zélande avait fait réagir dans certains médias et sur les réseaux sociaux, jugée ringarde par nombre d'observateurs. Visé par les critiques pour sa performance, Jean Dujardin a regretté, sur son compte Instagram, les moqueries, jeudi 14 septembre, alors que le quotidien Libération a notamment titré "Allez la Rance", évoquant "la carte postale sépia d'une France qui sent la naphtaline". "Je tombe à la renverse", a écrit l'Oscar du meilleur acteur 2012 pour le film The Artist.
"Le second degré que j'ai toujours aimé manier n'a pas été compris et je le regrette. Nous aurions dû certainement nous rappeler que notre pays est largement critiqué pour son esprit polémique et 'ronchon'. Dommage que nous n'ayons pu y échapper alors qu'il y avait une telle bonne volonté", a écrit sur Instagram celui qui incarne aussi une parodie d'espion franchouillard dans la série de films OSS 117. L'acteur, qui a également été joueur de rugby plus jeune, a répondu directement au quotidien en affirmant : "Une cérémonie d’ouverture est toujours la présentation au reste du monde du pays où se déroule l’événement fêté. Nous sommes effectivement aussi le pays du béret, de la gastronomie, de la culture, de l’éducation, n’en déplaise à certains…"
"Célébrer l'art de vivre à la française"
"Cette cérémonie n'aurait jamais dû nous opposer mais nous rassembler. Je suis un artiste, je ne serai le porte-drapeau d'aucun parti. Je vais vous laisser régler vos affaires entre vous. Je voulais que ce soit une cérémonie d'ouverture d'esprit, de partage et de joie. Je garde cette belle émotion au chaud. Allez les Bleus", conclut-il.
La cérémonie était censée "célébrer l'art de vivre à la française", avec une action se déroulant dans les années 1950 – référence à la première victoire française sur la Nouvelle-Zélande – et l'acteur français en personnage central, tricot blanc sur le dos, casquette sur la tête et mimant le boulanger enfournant son pain dans son fournil.
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