Paris-Roubaix : "La trouée d'Arenberg c'est notre bijou, notre diamant"; concède Bernard Caron, le maire de Wallers

"Il y a déjà 300 camping-cars qui sont aux abords de la trouée", raconte vendredi sur franceinfo le maire de cette ville du Nord, où se situe cette mythique portion pavée de la course. "C'est vraiment un évènement d'une envergure internationale."

Article rédigé par franceinfo
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Des coureurs cyclistes sur la trouée d'Arenberg, le 7 avril 2024 à Wallers (Nord) (ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP)
Des coureurs cyclistes sur la trouée d'Arenberg, le 7 avril 2024 à Wallers (Nord) (ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP)

Ce week-end a lieu la Reine des classiques, la course Paris-Roubaix, samedi pour les femmes, dimanche pour les hommes. Au programme : 30 secteurs pavés, dont la mythique trouée d'Arenberg à Wallers (Nord). Le maire de la commune Bernard Caron, invité sur franceinfo vendredi 11 avril, reconnaît que "c'est le week-end de l'année" pour eux : "C'est notre bijou, notre diamant qui met en valeur le patrimoine."

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Dès vendredi, des spectateurs affluent d'ailleurs de toute la France et même de l'étranger : "Il y a déjà 300 camping-cars qui sont aux abords de la trouée, raconte le maire sur franceinfo. C'est vraiment un évènement d'une envergure internationale." Et pour cause, les gens espèrent y voir des stars du cyclisme comme Tadej Pogacar, rappelle Bernard Caron : "Il est passé ce vendredi matin en reconnaissance sur la trouée. Il était déjà venu deux fois. Pour vous dire l'enjeu."

"Ça va être un Paris-Roubaix très disputé, avec des très grands champions et des têtes d'affiche comme Pogacar, ven der Poel, van Aert, etc."

Bernard Caron, maire de Wallers

sur franceinfo

Comme l'an dernier, une chicane a été installée quelques mètres avant la trouée d'Arenberg pour permettre de sécuriser ce secteur pavé sur lequel les cyclistes s'engagent à vive allure, détaille l'élu. Reste plus qu'à voir le temps qu'il fera : "S'il tombe quelques millimètres de pluie la nuit avant la course, vu la poussière qu'il y a aujourd'hui, ça pourrait rendre le pavé un peu glissant et sans doute la course un peu plus attrayante !", conclut Bernard Caron.

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