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Les victimes mineures de l’abbé Pierre pourront être prises en charge par l’Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation

L'Inirr a été créée dans la foulée du rapport Sauvé sur la pédocriminalité dans l’Église. Elle est chargée des réparations, symboliques ou financières, des victimes mineures de violences sexuelles de la part de prêtres.

Article rédigé par franceinfo
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Un homme passe devant une photo de l'abbé Pierre, le 21 janvier 2012 au Centre abbé Pierre d'Esteville (Seine-Maritime). (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)
Un homme passe devant une photo de l'abbé Pierre, le 21 janvier 2012 au Centre abbé Pierre d'Esteville (Seine-Maritime). (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)

Après la publication de 17 nouveaux témoignages de victimes de violences sexuelles de la part de l’abbé Pierre, l’Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation (Inirr) se dit prête à prendre en charge les victimes mineures au moment des faits, a appris franceinfo lundi 9 septembre auprès de l’institution.

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L’Inirr est l’instance chargée des réparations, symboliques ou financières, des victimes mineures de violences sexuelles de la part de prêtres. Elle a été créée dans la foulée du rapport Sauvé sur la pédocriminalité dans l’Église. Au moins quatre victimes de l’abbé Pierre mineures au moment des faits ont été identifiées dans les rapports publiés en juillet et septembre par Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre.

Sans distinguer les mineures des majeures, Emmaüs International a indiqué lundi sur RTL "travailler" à une indemnisation des victimes.

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