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Covid-19 : "La vaccination, c'est le progrès", insiste le ministre de la Santé Aurélien Rousseau

Pour convaincre les plus réticents, Aurélien Rousseau rappelle que l'on dispose désormais de "trois ans de recul" et "on sait qu'il n'y a pas d'effet secondaire" avec le vaccin contre le Covid.

franceinfo

Radio France

Publié le 03/10/2023 09:45

Temps de lecture : 1min

Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau sur France Inter, le 3 octobre. (FRANCE INTER / RADIO FRANCE)

"Je veux montrer que la vaccination, c'est le progrès", insiste mardi 3 octobre sur France Inter Aurélien Rousseau, ministre de la Santé, alors qu'a été lancée lundi une campagne de vaccination destinée "aux populations à risque". Cette nouvelle campagne devait initialement débuter le 17 octobre, mais face à la "reprise épidémique réelle", le gouvernement a décidé de l'avancer de deux semaines.

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Aurélien Rousseau met en avant la nécessité de se faire vacciner d'autant que "le vaccin correspond à la souche [de variant] très largement dominante aujourd'hui". "On a une responsabilité collective vis-à-vis des personnes fragiles", martèle-t-il.

Si le ministre ne se donne pas "d'objectif chiffré" en termes de taux de vaccination pour cette nouvelle campagne, il entend convaincre les plus réticents. Il rappelle que l'on dispose désormais de "trois ans de recul" et "on sait qu'il n'y a pas d'effet secondaire". "On a un vaccin plus efficace que celui de l'an dernier", ajoute Aurélien Rousseau. Il espère assister à une "dynamique" avec les campagnes de vaccination lancées contre "le papillomavirus, contre la bronchiolite, contre la grippe ou contre le Covid".

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