Roland-Garros 2024 : Gaël Monfils passe l'obstacle Thiago Seyboth Wild pour son entrée en lice
Victorieux en quatre sets sur le court central, le Français de 37 ans s’est qualifié lundi pour le deuxième tour du Grand Chelem parisien pour la 15e fois en 17 participations.
/2023/07/23/64bcfa33e5011_gabriel-rond.png)
/2024/05/27/000-34u369v-6654f44165a46331765865.jpg)
Et le ciel bleu est revenu au-dessus de Roland-Garros. Quelques heures après le déluge qui a accompagné les possibles adieux de Rafael Nadal à son tournoi, le public du court Philippe-Chatrier s'est consolé avec la victoire de l'un de ses chouchous, le Français Gaël Monfils, face au Brésilien Thiago Seyboth Wild au premier tour (6-2, 3-6, 6-3, 6-4), lors de la session de nuit, lundi 27 mai.
Inspiré, le Tricolore, classé 38e mondial, s’est détaché dans le premier set en profitant des trop nombreuses erreurs de son adversaire de 24 ans (58e), pourtant bon terrien. Le tombeur de Daniil Medvedev l’an dernier a lâché sa mise en jeu d’entrée sur deux fautes directes et deux doubles fautes. De quoi mettre "La Monf" en confiance. Lequel a préservé et même accru son avantage, quelques points après une défense victorieuse sur un échange de 24 coups qui a fait exploser le Central à 4-2.
Un coup de moins bien dans le deuxième set
Alors qu’il s’estimait à 70% de son meilleur niveau avant la rencontre, la faute à un état grippal qui l’a contraint à renoncer à l’ATP 250 de Lyon la semaine passée, l'ex-numéro 6 mondial a lâché la deuxième manche. Une forme de logique puisque son deuxième service était subitement tombé en panne (9% de réussite sur son deuxième service). Pour mieux retrouver ses coups dans la troisième.
Breaké par Thiago Seyboth Wild malgré un rapide passage aux vestiaires, Gaël Monfils est ensuite parvenu à enchaîner cinq jeux d’affilée avec le soutien de tribunes acquises à sa cause, quoique souvent endormies. A la faveur d’une unique balle de break transformée sur sept obtenues, le Parisien a finalement conclu en quatre manches une rencontre pas toujours au niveau (64 fautes directes au total, dont 30 pour Monfils).
Le tout sans avoir besoin de s’arracher comme ce fut le cas contre Sebastian Baez en 2023. En 17 participations, l’ex-numéro 6 mondial âgé de 37 ans ne s'est incliné qu'à deux reprises pour son entrée en lice (2005, 2020). Au deuxième tour, il défiera l'Italien Lorenzo Musetti, facile vainqueur du Colombien Daniel Elahi Galan en trois sets (6-3, 6-3, 7-5).
À regarder
-
un objet percute un Boeing 737 et blesse un pilote
-
Cambriolage au Louvre : où en est l'enquête ?
-
Vol d’or au Muséum : une femme mise en examen
-
Jean-Yves Le Drian défend l'image de la France
-
Chine : 16 000 drones dans le ciel, un nouveau record du monde
-
Donald Trump lance de (très) grands travaux à la Maison Blanche
-
Glissement de terrain : des appartements envahis par la boue
-
Emmanuel Macron sème la confusion sur la réforme des retraites
-
Tornade meurtrière : scènes d'apocalypse dans le Val-d'Oise
-
Nicolas Sarkozy : premier jour en prison
-
La lutte sans relâche contre les chauffards
-
L'OMS alerte sur la résistances aux antibiotiques
-
Les frères Lebrun, du rêve à la réalité
-
Que disent les images de l'incarcération de Nicolas Sarkozy ?
-
Algospeak, le langage secret de TikTok
-
Une Russe de 18 ans en prison après avoir chanté des chants interdits dans la rue
-
Cambriolage au Louvre : d'importantes failles de sécurité
-
"Avec Arco, on rit, on pleure..."
-
Wemby est de retour (et il a grandi)
-
Arnaque aux placements : la bonne affaire était trop belle
-
Une tornade près de Paris, comment c'est possible ?
-
La taxe Zucman exclue du prochain budget
-
Un ancien président en prison, une première
-
Normes : à quand la simplification ?
-
La Terre devient de plus en plus sombre
-
Cambriolage au Louvre : d'importantes failles de sécurité
-
Louis Aliot, vice-président du RN, et les "deux sortes de LR"
-
Nicolas Sarkozy incarcéré à la prison de la Santé
-
Décès d'une femme : les ratés du Samu ?
-
Louvre : cambriolages en série
Commentaires
Connectez-vous ou créez votre espace franceinfo pour commenter.
Déjà un compte ? Se connecter