Seconde Guerre mondiale : la mort du dernier "code talker"
C'est un drôle de concours de circonstances. A la veille des commémorations du "D-Day", le dernier "code talker" s'est éteint aux Etats-Unis.
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Il s'appelait Chester Nez, il avait 93 ans, et c'était l'un des 29 indiens Navajos recrutés par les Marines américains pendant la Seconde Guerre mondiale pour créer un code de communication secret s'inspirant de la langue Navajo. Un code que les Japonais n'ont jamais réussi à déchiffrer au cours de la Seconde Guerre mondiale. Dans ces messages codés les bombes deviennent des oeufs, les tanks des tortues, les grenades des patates...
L'Inde reconnaît un "troisième sexe"
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Ce sont des femmes dans un corps d'homme, on les appelle "transgenre", personnes du "troisième sexe" ou "Hijras" en Inde. Elles sont plusieurs millions, tolérées par la société indienne mais marginalisées : beaucoup vivent de la prostitution ou de l'aumône.
Actuellement, les policiers les harcèlent, les hôpitaux les rejettent car ils ne savent pas dans quelle catégorie les inscrire, alors que beaucoup, ici, sont séropositives et il leur est impossible d’avoir un appartement. L’Inde vient de faire un pas historique dans leur direction, puisque la Cour suprême a reconnu l'existence d'un troisième genre. Cela va permettre aux Hijras de faire reconnaître leurs droits, même si ces mesures mettront du temps à prendre forme.
Palestiniens, prisonniers, sans droits
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Ils sont Palestiniens, ils sont 125 et cela fait plus de cinq semaines qu'ils sont en grève de la faim. Détenus par les Israéliens, ils protestent contre leur détention administrative, une mesure d'exception qui permet aux autorités de Jérusalem d'arrêter arbitrairement, et pour une période illimitée, n'importe quel Palestinien sans avoir à détailler les charges qui sont retenues contre lui.
Ils sont une soixantaine dont une large majorité de femmes, drapeaux et banderoles en évidence. Des familles réunies depuis plusieurs semaines pour soutenir leurs proches emprisonnés administrativement par les autorités israéliennes. De son côté, l'Etat israélien justifie ces arrestations arbitraires en assurant qu’elles contribuent à la sécurité en Israël et met en avant que le nombre de prisonniers retenus administrativement a drastiquement diminué.
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