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Emmanuel Macron et le sentiment d'insécurité, Jean-Michel Blanquer et la rentrée scolaire à haut-risque... Les informés du matin du 1er septembre

Les informés du matin Renaud Dély et Marc Fauvelle Du lundi au vendredi à 9h06

Tous les matins, les informés débattent sur franceinfo des sujets qui feront ou font l'actualité du jour.

franceinfo

Radio France

Publié le 01/09/2021 10:22

Temps de lecture : 2min

Le plateau des Informés du matin du mercredi 1er septembre. (FRANCEINFO / RADIOFRANCE)

Autour de Marc Fauvelle et Renaud Dély pour décrypter l’actualité du mercredi 1er septembre, Eve Roger, directrice-adjointe de la rédaction du Parisien-Aujourd’hui en France et Neila Latrous, journaliste politique à franceinfo.

Les thèmes :

Emmanuel Macron à Marseille : la sécurité est-elle le talon d’Achille du chef de l’Etat ? Le chef de l’Etat est en déplacement jusqu’à vendredi dans la deuxième ville de France, Marseille. Une ville en proie à de lourds problèmes d’insécurité avec en particulier une série de règlements de comptes sur fond de trafic de drogue. Des tueries qui n’ont pas cessés durant l’été. A l’occasion de ce déplacement le président va mettre en avant les efforts de l’Etat pour venir en aide à Marseille, en collaboration avec la municipalité et les élus locaux.

Mais au-delà, il s’agit aussi d’un enjeu électoral important en vue de l'élection présidentielle. Et une façon pour le futur candidat Macron d’afficher qu’il s’en préoccupe. Le gouvernement se défend de toute inaction par la voix, en particulier, du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin. Et pourtant, la sécurité apparaît comme une faiblesse congénitale du macronisme. Les sondages montrent que les Français ne lui font pas confiance pour lutter contre la délinquance. Et la droite surenchérit et l’attaque sur ce terrain-là.

Rentrée des enseignants aujourd’hui, et des élèves demain : une rentrée à haut risques pour Jean-Michel Blanquer ? Alors que la rentrée scolaire s’annonce, cette année encore, sous le nuage de l’épidémie de Covid-19, les enseignants sont remontés et les protocoles sanitaires compliqués. Jean-Michel Blanquer peut-il reconquérir la confiance des enseignants ?