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La Russie accusée de crimes de guerre : comment vérifier, prouver, juger ?

Le Quart d'Heure Céline Asselot Du lundi au vendredi

De quelle manière enquête-t-on sur un pays accusé de « crimes de guerre » ? Aujourd’hui, le Quart d’Heure vous explique comment les experts européens collectent des vidéos et des témoignages pour aboutir peut-être un jour à un procès. Et puis, le premier tour de la présidentielle approche, mais nombreux sont encore les électeurs à ne pas savoir à qui donner leur voix. Le Quart d’Heure donne la parole à ces indécis, pour comprendre ce qui les empêche de faire leur choix.

franceinfo

Radio France

Publié le 08/04/2022 17:22 Mis à jour le 08/04/2022 19:22

Temps de lecture : 1min

Des ingénieurs des urgences ukrainiennes examinent des véhicules détruits dans les rues de Boutcha, le 5 avril 2022. (GENYA SAVILOV / AFP)

Le 2 mars 2022 s’est ouverte une enquête de la Cour pénale internationale (CPI), soutenue par 41 États, dont les 27 de l’Union européenne, sur les crimes commis en Ukraine. Une décision qui peut sembler opaque et que le Quart d’Heure a souhaité comprendre. Comment l’enquête se met-elle en place ? Qu’est-ce que cherchent les experts ? Comment recueillir des preuves en vue d’un procès ? Pour en savoir davantage, Angélique Bouin, correspondante de radiofrance à Bruxelles, est allée à la rencontre des experts européens qui travaillent depuis La Haye. Elle détaille notamment la coopération dont font preuve les pays et la longue quête des preuves pour permettre un jour de remonter la piste des responsables.

Indécision, quand tu nous tiens

J-1 avant de se saisir d’un bulletin de vote, le mettre dans l’enveloppe et entendre le fameux « a voté ! ». Enfin ça, c’est pour ceux qui ne resteront pas plusieurs minutes dans l’isoloir, bloqués par l’indécision. Sans oublier ceux qui ne feront pas le déplacement et vaqueront à d’autres occupations. Alors qu’un tiers des électeurs n’ont pas encore fait leur choix et que l’abstention risque d’atteindre un niveau record, pourquoi la campagne n’accroche-t-elle pas ?

Dans sa chronique « Génération 2022 », la journaliste Manon Mella a donné la parole à celles et ceux qui ne savent pas encore pour qui voter. Alors, si vous ne vous sentez pas concerné par cette élection, que vous trouvez que ce n’est pas le bon moment ou que vous ne savez plus où donner de la tête, pas de panique, vous n’êtes pas seul.