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"Radio" : à l'occasion de la dixième rentrée de Thierry Marx sur franceinfo

Le mot à la bouche Thierry Marx et Bernard Thomasson Le dimanche à 12h56, 14h26 et 16h26

Pour la dixième saison d'affilée, le chef étoilé Thierry Marx a choisi franceinfo pour évoquer les questions d'alimentation, de cuisine ou de gastronomie. Il évoque ici sa passion pour le média radiophonique.

Bernard Thomasson, Thierry Marx

Radio France

Publié le 03/09/2023 09:54 Mis à jour le 03/09/2023 13:53

Temps de lecture : 1min

Thierry Marx accompagne franceinfo pour la dixième saison. Il aime le média radio, un média qui compte en cuisine. (NATHANAËL CHARBONNIER / FRANCEINFO)

En 2014, nous lancions avec Thierry Marx, chef 2 étoiles Michelin et 4 toques Gault&Millau au Mandarin oriental à Paris, l'émission L'histoire à la carte, qui a évolué au fil des décennies pour coller davantage à l'actualité et aux enjeux de l'alimentation, de la cuisine et de la gastronomie, et qui est devenue aujourd'hui Le mot à la bouche.

En cette dixième rentrée radiophonique, ce cuisinier d'exception évoque ce que représente, pour lui, la radio."J'ai commencé avec la radio, quand j'étais apprenti pâtissier : le premier geste de mon chef, dans le laboratoire de pâtisserie, était d'allumer le poste. Entendre les voix du matin... Je pense qu'on prend le pouvoir par la voix. Par ailleurs, la radio a porté longtemps et porte encore beaucoup la gastronomie française. Elle est le compagnon du quotidien pour beaucoup de professionnels."

La radio garde un rôle majeur

Avant la primauté de l'image, la radio a été pionnière pour faire connaître le travail des cuisiniers et des restaurateurs au grand public. Pour le chef étoilé, c'est un média qui permet de toucher le cœur des gens, par la voix, de manière plus durable que par l'image.

"Aujourd'hui, la radio garde un rôle majeur, ajoute Thierry Marx, pour informer, pour sa capacité à faire rêver, à faire découvrir. Grâce à elle, on peut déambuler partout dans le monde, ou en France, pied à pied, main à main, et main dans la main, parce qu'il faut porter un micro, le tendre vers l'autre. C'est un outil de connexion fondamental pour les citoyens que nous sommes."