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Sur Twitter, juges et avocats décryptent le langage des tribunaux

Le #info2230 Pierre Chausse Du lundi au vendredi à 22h30, sauf le mercredi

Une journée sur les réseaux sociaux, en compagnie de Pierre Chausse. Au menu ce jeudi : des étudiants américains qui se mobilisent, des professionnels de la justice qui s’amusent et un inconnu qui traque les fausses montres.

franceinfo

Radio France

Publié le 15/05/2014 20:29 Mis à jour le 16/05/2014 07:38

Temps de lecture : 2min

Voilà qui pourrait inspirer les lycéens français à deux mois du début des épreuves du baccalauréat. Il y a une semaine, Andrew Muennink, un étudiant de la Round Rock High School au Texas, a lancé un pari à sa professeur d’arts plastiques : s’il obtenait au moins 15.000 retweets de la photo présentant leur accord écrit sur un tableau noir, les examens prévus quelques semaines plus tard devaient être annulés.

“Devaient”, car, même s’il n’aura fallu que quelques heures à ce jeune américain pour atteindre son objectif, contre les deux semaines accordées naïvement par l’enseignante, l’administration de l’école a réagi dès le lendemain du défi, dans un communiqué, pour affirmer que les épreuves seraient maintenues quoi qu’il arrive.

Une initiative qui n’aura donc servi à rien mais qui a tout de même inspiré des dizaines d’autres étudiants du pays, dont on retrouve les exploits avec le hashtag #NoFinal

La vie des tribunaux s’invitent sur Twitter

Juges ou avocats, les professionnels de la justice sont nombreux sur Twitter... dans le plus strict anonymat, ce qui leur permet de s’amuser à l’occasion. Leur dernière trouvaille : la création d’un mot-clé : #lexiquedecorrectionnelle, derrière lequel ils nous donnent le sens des phrases rabâchées à longueur d’audience dans les tribunaux... Drôle.

D’autres exemples en cliquant sur ce lien.

Un compte Instagram traque les fausses montres des rappeurs

Certains rappeurs ont un côté très “bling-bling” et arborent volontiers montres et bijoux de luxe... Le compte Instagram @FakeWatchBusta a décidé de dénoncer tous ceux d’entre eux qui s’affichent avec des répliques au poignet. Ce “Batman de l’horlogerie”, c’est comme ça qu’il se surnomme, a déjà épinglé plusieurs artistes. Pour expliquer ses motivations, il dit tout simplement détester les contrefaçons. Un passe-temps qui a trouvé son public. Notre homme compte déjà plus de 40.000 abonnés.