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Municipales : à Dijon, on soigne les "troubles de l'élection"

Le #info2230 Pierre Chausse Du lundi au vendredi à 22h30, sauf le mercredi

Une journée sur les réseaux sociaux, en compagnie de Pierre Chausse, journaliste. Au menu ce jeudi : la genèse de Twitter, la baisse de popularité de Facebook et une campagne d'affichage qui fait le buzz.

franceinfo

Radio France

Publié le 10/10/2013 19:10 Mis à jour le 09/05/2014 23:31

Temps de lecture : 1min

Après, un autre compte Twitter s'intéresse aux municipales : @municiplol2014 recense les anecdotes décalées de ces élections. Le dernier exemple en date : la nouvelle campagne d'affichage du maire socialiste, candidat à sa réélection à Dijon, qui a décidé de lutter contre l'abstentionnisme en invitant les jeunes à soigner leurs troubles de... l'élection.

Il n'est pas question de Viagra mais bien d'inciter les Dijonnais à s'inscrire sur les listes électorales avant le 31 décembre.
Sur

@marcthebault Il y a eu une campagne "Trouble de l'élection" similaire à celle de #Dijon l'an dernier en Belgique: http://t.co/J5dLp2CE0o
— Pascal Sac (@PascalSac) October 10, 2013

, certains ont salué cette façon de combattre l'abstention.

D'autres ont relevé qu'une campagne similaire, avec le même slogan, avait été lancée en 2012 en Belgique. L'équipe de François Rebsamen n'a peut-être pas fait preuve d'originalité mais on concédera qu'elle fait le maximum pour redresser la barre.

Twitter en quelques anecdotes

Le journaliste du New York Times , Nick Bilton, a écrit un livre sur Twitter, Hatching Twitter: All is fair in love and Twitter, à paraître le 5 novembre prochain. 20minutes.fr l'a lu et a sélectionné les anecdotes les plus marquantes. On y apprend notamment qu'Al Gore a essayé d'acheter Twitter ; que le nom a été trouvé en tournant les pages d'un dictionnaire et le concept final après une soirée passée à boire de la vodka.

Les ados commencent à bouder Facebook

Facebook serait-il un réseau de vieux ? Selon une étude d'une banque d'affaires américaine, Twitter vient de le détrôner de sa place de réseau social le plus apprécié des adolescents américains. 26 % des 8600 adolescents interrogés préfèrent Twitter, contre 23 % Facebook et sa filiale de partage de photos Instagram.