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L'économie sociale et solidaire vue par Jean-Marc Borello, du groupe SOS

Le grand témoin Jérôme Chapuis, Jean-Rémi Baudot Du lundi au dimanche à 7h40

Le Sénat a adopté le projet de loi de Benoît Hamon sur l'économie sociale et solidaire (ESS), dont l'ambition est de donner la possibilité à ce secteur de créer plusieurs dizaines de milliers d'emplois. Un modèle économique que connaît bien le groupe SOS, principale entreprise d'économie sociale et solidaire, qui regroupe 11.000 salariés. Le groupe gère des centres éducatifs, des centres d'hébergements, huit hôpitaux. Les explications de Jean-Marc Borello, président du directoire du groupe SOS.

Fabienne Sintes

Radio France

Publié le 12/11/2013 08:12 Mis à jour le 09/05/2014 23:31

Temps de lecture : 1min

Le groupe SOS fait 20% à 25% de croissance depuis des
années, et l'intérêt majeur de ses entreprises est la recherche de l'intérêt
général. "Nous continuons a chercher un modèle économique performant,
mais ce qui nous est utile c'est que notre apport à l'économie globale va lui
permettre de remettre en question un certain nombre de pratiques ", explique
Jean-Marc Borello.

"Le groupe SOS est une association donc personne n'est
propriétaire de quoi que ce soit. Tout ce qui est gagné depuis 30 ans est
réinvesti dans l'entreprise pour améliorer les prestations, les services. C'est
un modèle plus solide et plus intéressant pour la population dans son ensemble. "