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Le brief politique. Le mouvement d'Emmanuel Macron prend vite racine à Sciences Po

Le brief politique Anne-Laure Dagnet Le samedi à 7h46, 11h48, 13h15, 15h15

Le mouvement "En marche!" d'Emmanuel Macron est présent à Science Po depuis août 2016. Il a déjà dépassé toutes les autres formations politiques.

franceinfo, Julien Langlet

Radio France

Publié le 21/10/2016 09:02

Temps de lecture : 1min

Le mouvement "En Marche!" d'Emmanuel Macron lancé à Science Po en août 2016 a déjà dépassé toutes les autres formations politiques (THOMAS PADILLA / MAXPPP)

Depuis peu, le Front national est présent à l’Institut de sciences politiques (IEP), mais le parti de Marine Le Pen ne constitue pas la première force politique de Sciences Po. Le mouvement d'Emmanuel Macron "En marche !" est devant.

Avec 160 adhérents revendiqués, le mouvement "En marche!" lancé à Sciences Po Paris en août dernier a déjà dépassé toutes les autres formations politiques. Cela montre bien que les temps changent, commente Paul Fleurance, le président de l'association étudiante "Sciences po En marche". Il se passe quelque chose autour d’Emmanuel Macron, ajoute-t-il.

Le mouvement d'Emmanuel Macron "En Marche", première force politique de Sciences-Po https://t.co/kodZPYFH45
— franceinfo (@franceinfo) 21 octobre 2016

L’ancien ministre de l’Economie pourrait d'ailleurs annoncer sa candidature avant Noël, histoire de faire parler dans les repas de familles de fin d'année. Même si pour une majorité de Français, aucune personnalité de gauche ne ferait un bon président. C'est le résultat du sondage Odoxa pour franceinfo publié vendredi 21 octobre. Le plus apte ne serait pas l'ancien ministre de l'Economie, mais Manuel Valls, qui serait pour 23% des Français le meilleur représentant du PS.

La note du brief

C’est un 9/20 attribué à France 2 pour le choix de ses contradicteurs dans "L'Emission politique" où Bruno Le Maire était invité jeudi 20 octobre. Il y a eu souvent des dialogues de sourds entre le candidat à la primaire de la droite et les intervenants, surtout quand les invités sont en duplex, à l'image de Ghislaine Joachim-Arnaud. La représentante de la CGT en Martinique n'a pas laissé Bruno Le Maire en placer une.