L'été des chefs. Le jeune chef parisien Florian Barbarot a des projets plein la tête : "Ce qui m'attire dans la cuisine, c'est le côté adrénaline, esprit d'équipe, que je connaissais dans le sport"
C'est un jeune chef qui vient de s’installer à Paris : Florian Barbarot. Il a créé un univers bien à lui autour de la marque Quelque Part, et ne manque pas d’ambition.
Voilà un trentenaire à la tête sur les épaules, des épaules de sportif, sa deuxième grande passion après la cuisine. Florian Barbarot est propriétaire et chef du restaurant Quelque Part, dans le 9e arrondissement de Paris. Un lieu où il a créé deux espaces différents, côté bistronomique sur la rue et côté gastronomique face aux fourneaux, pour exprimer une cuisine apprise entre les États-Unis, l’Alsace, et son pays natal l’Isère.
"Ce qui m'attire dans la cuisine, c'est le côté adrénaline, esprit d'équipe, brigade, que je connaissais dans le sport. Dans dix ans, j'aimerais être toujours à Paris, avec la marque Quelque Part qui aura fait des petits."
Florian Barbarotà franceinfo
Évidemment, si une étoile venait couronner le travail de Florian, qui fut quart de finaliste de Top Chef il y a quelques années, le jeune homme serait comblé. Mais il n’attend pas après pour écrire son projet de vie autour de sa marque de cuisine, sous laquelle il s’apprête à ouvrir une pâtisserie, salon de thé et de brunch. Après l’Alsace, Florian Barbarot a aussi travaillé dans un restaurant deux étoiles, en Suisse, et chez Daniel Boulud à New York, trois étoiles à l’époque, où il a appris les techniques du poisson, très présent à sa carte.
Parmi ses producteurs, Florian Barbarot fait appel à Javier Gorga, qui pratique trois activités différentes et complémentaires : maraicher, ébéniste et producteur de champignons. Dans l'émission, il vous livre la recette de la variété "crinière de lion", un énorme champignon que le chef prépare comme une pièce de bœuf. Allez voir sur les réseaux sociaux la vidéo de cette recette, c’est bluffant.
Florian Barbarot, un garçon volontaire et doué, pour une cuisine vive, aux déclinaisons marines.
À regarder
-
Retour de S. Lecornu : peut-il tenir ?
-
"Je ne l'ai pas tuée" : Cédric Jubillar réaffirme son innocence
-
Oeufs, à consommer sans modération ?
-
Ours : ils attaquent même dans les villes
-
Ce radar surveille le ciel français
-
On a enfin réussi à observer un électron !
-
"Manifestation des diplômés chômeurs, un concept marocain !"
-
Crise politique : "La dernière solution, c'est la démission du président de la République"
-
Le loup fait taire la Fête de la science
-
Les tentatives de suic*de en hausse chez les adolescentes
-
Défi chips : alerte dans un collège
-
Quand tu récupères ton tel à la fin des cours
-
Ukraine : le traumatisme dans la peau
-
Teddy Riner s'engage pour sensibiliser sur la santé mentale
-
Suspension de la réforme des retraites : les gagnants et les perdants
-
Ukraine : le traumatisme dans la peau
-
L'espoir renaît à Gaza après l'accord de cessez-le-feu
-
Une école pour se soigner et réussir
-
Taux immobiliers : est-ce le moment d'acheter ?
-
La panthéonisation de Robert Badinter
-
Cancer : des patientes de plus en plus jeunes
-
"Le Bétharram breton" : 3 établissements catholiques dénoncés par d'anciens élèves
-
Cessez-le-feu à Gaza : un premier pas vers la paix
-
Quand t'as cours au milieu des arbres
-
Il gravit la tour Eiffel en VTT et en 12 min
-
Pourquoi on parle de Robert Badinter aujourd'hui ?
-
Robert Badinter : une vie de combats
-
La tombe de Robert Badinter profanée à Bagneux
-
Accord Hamas-Israël, la joie et l’espoir
-
"Qu’on rende universelle l'abolition de la peine de mort !"
Commentaires
Connectez-vous ou créez votre espace franceinfo pour commenter.
Déjà un compte ? Se connecter