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Sur la trace des barons de la drogue au Mali

Hyper revue de presse Jules Lavie Du lundi au vendredi à 7h20 et 9h15 puis à 8h20 le week-end.

Dans Le Figaro : l'intervention française au Mali ne dérange pas que les islamistes, elle gène aussi, indirectement, les barons de la drogue. En France, le Conseil Constitutionnel confirme le concordat en vigueur en Alsace et en Moselle. Et en Europe, la BCE a gagné de l'argent grâce à la dette grecque.

franceinfo

Radio France

Publié le 22/02/2013 08:48 Mis à jour le 09/05/2014 22:39

Temps de lecture : 2min

Les barons de la coke de Gao : une enquête du Figaro

Depuis quelques
années ils avaient élu domicile dans un quartier de Gao, quartier surnommé
"cité de la cocaïne". Visite guidée grâce au reporter du journal Le Figaro Thierry Oberlé. Alors aujourd'hui, les grandes villas blanches, sont désertes,
depuis le début de l'intervention française. Les riches demeures ont été
pillées. Même les jacuzzis ont été démontés. Mais jusqu'à... il y a encore peu
de temps, ces maisons abritaient notoirement plusieurs parrains du trafic de
cocaïne. La "Mali connection" est donc
mise à mal, par l'arrivée des militaires français. L'intervention française a
complètement bouleversé les règles de ce trafic de cocaïne.

Tout savoir sur le Mali dans La Croix

3 pages dans La Croix de ce vendredi, avec des
cartes et les analyses, de plusieurs spécialistes, pour mieux comprendre
l'histoire de cette ancienne colonie française.

Le concordat dans l'est de la France

Oui la plupart de vos
journaux y reviennent notamment Libération, très didactique : le conseil
constitutionnel a confirmé le financement public des curés, pasteurs et
rabbins, dans le Bas Rhin, le Haut Rhin et la Moselle. Ces 3 départements ne
sont pas soumis à la loi de 1905 de séparation des Eglises et de l'Etat car à
l'époque ils étaient sous domination allemande.

La BCE a gagné 555 millions d'euros avec la dette grecque

Oui c'est une info à
lire dans le journal Les Echos. La Banque Centrale Européenne a gagné
précisément 555 millions d'euros avec la dette Grecque. Ce sont les intérêts
des obligations de la Grèce, achetées par la BCE à partir de mai 2010, au plus
fort de la crise grecque.