Les chansons d'un Paris noir

En contrepoint de l'exposition "Paris noir 1950-2000" au Centre Pompidou, explorons la présence d'artistes afro-américains, caribéens et africains dans la capitale de toutes les diasporas.

Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Expo "Paris noir" au Centre Pompidou à Paris, du 19 mars au 30 juin 2025. (CHRISTOPHE PETIT TESSON / EPA)
Expo "Paris noir" au Centre Pompidou à Paris, du 19 mars au 30 juin 2025. (CHRISTOPHE PETIT TESSON / EPA)

"Pas l’enfer, pas le paradis" : le chanteur ivoirien Tiken Jah Fakoly nous donne une indication intéressante sur le regard qui peut être porté sur Paris.

Cette semaine a ouvert au Centre Pompidou l’exposition Paris noir, qui fait le point pour la première fois sur l’accueil d’artistes plasticiens africains, caribéens ou afro-américains – un regard sur une ville de diaspora vers laquelle des milliers de créateurs ont convergé dans la seconde moitié du 20e siècle.

Mais, si l’on évoque la chanson, on a immédiatement en tête la voix d’une Afro-Américaine qui a trouvé à Paris une nouvelle vie légendaire.

Dans le second épisode de Ces chansons qui font l’actu diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :

Tiken Jah Fakoly, Africain à Paris, 2007

Joséphine Baker, J'ai deux amours, 1930

Joséphine Baker, Paris Paris, 1949

Joséphine Baker, Paris mes amours, 1959

Stellio (chant Paul Mathias), Paris Biguine, 1933

Henri Guédon, Los Antillanos de Paris, 1972

Pierre Louiss, Boum boum, 1968

Super Combo, Mwen domi déwo, 1975

Don Byas, En ce temps-là, 1952

Papa Wemba, Sapologie, 2010

Salif Keita, Avec le temps, 1996

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