La chanson honore ses morts

La disparition de Werenoi le rappelle : les artistes des musiques populaires aiment à se souvenir de leurs confrères disparus. Mais pas toujours...

Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Après le décès du rappeur Werenoi, voyons comment la chanson française évoque la disparition des artistes. (JEAN-BAPTISTE QUENTIN / MAXPPP)
Après le décès du rappeur Werenoi, voyons comment la chanson française évoque la disparition des artistes. (JEAN-BAPTISTE QUENTIN / MAXPPP)

Inévitable Charles Trenet qui, en ces circonstances, nous rappelle dans L'âme des poètes ce qu’il en est de la postérité dans les musiques populaires : les chansons survivent aux artistes, qu’ils soient morts longtemps après leurs premières heures de gloire ou qu’ils aient été fauchés en pleine course.

La disparition de Werenoi à 31 ans, le samedi 17 mai, a évidemment suscité les méditations d’usage, aggravées chez les fans par l’exercice qui consiste à réécouter son œuvre pour y trouver des signes prémonitoires. En ce qui concerne Werenoi, ce n’était pas très difficile...

Dans le premier épisode de Ces chansons qui font l’actu ce week-end, vous entendez des extraits de :

Charles Trenet, L'Ame des poètes, 1951

Werenoi, Oméga, 2024

Werenoi, Colisée, 2025

Werenoi et Gims, Piano, 2025

Niro, Bawemonami, 2015

IAM, Feeling, 2021

Youssoupha, Viens, 2012

Pierre Louki, On n'était pas faits pour que tu nous laisses, 2004

Pierre Desproges, Dernières volontés, 1984

Sarclo, A la mort de Pierre Bache-lait, 2006

Eddy Mitchell et Jacques Dutronc, Au bar du Lutetia, 2003

Maxime Le Forestier, La Visite, 1988

Joël Favreau, La Visite, 2001

 

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