La chanson du piano et du pianiste

Après la mort du géant Alfred Brendel, écoutons comment les artistes de la chanson admirent et détestent tout à la fois l'instrument-roi de la musique classique.

Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
La disparition du pianiste Alfred Brendel donne l'occasion de voir comment pianos et pianistes sont mis en chansons. (URS FLUEELER / KEYSTONE / MAXPPP)
La disparition du pianiste Alfred Brendel donne l'occasion de voir comment pianos et pianistes sont mis en chansons. (URS FLUEELER / KEYSTONE / MAXPPP)

Gilbert Bécaud met en scène un pianiste – pas un pianiste comme lui, pianiste de variétés qui a quitté le conservatoire vers ses 15 ans, mais un pianiste classique.

Je ne sais pas s’il admirait Alfred Brendel, de quelques années plus jeune que lui, devenu un géant du piano classique, et qui s’est éteint cette semaine – vous l’avez entendu sur franceinfo.

Bécaud a eu une éducation classique qu’il a laissée derrière lui en embrassant une carrière au music-hall, mais sans oublier son passé classique.

Dans le premier épisode de Ces chansons qui font l’actu ce week-end, vous entendez des extraits de :

Gilbert Bécaud, Le Pianiste de Varsovie, 1956

Alain Bashung, Je tuerai la pianiste, 2008

Romain Didier, Dans ce piano tout noir, 2016

Juliette, La Petite Fille au piano, 1996

Babet, Piano monstre, 2010

Terrenoire, La Pianiste, 2018

France Gall, Il jouait du piano debout, 1980

Claude Nougaro, Le Piano de mauvaise vie, 1959

Michel Fugain, Moi, monsieur, 1975

Jacques Debronckart, C'est l'piano, 1982

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