La chanson diagnostique Monaco

Alors que la Commission européenne classe la Principauté sur la liste noire des pays à risque pour le blanchiment d'argent, revenons sur l'image - pas toujours flatteuse - que les artistes lui dessinent.

Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
La principauté de Monaco (ALEXANDER SPATARI / MOMENT RF GETTY IMAGES)
La principauté de Monaco (ALEXANDER SPATARI / MOMENT RF GETTY IMAGES)

Le rappeur Soleil Noir, en 2024, exprime un fantasme d’une clarté limpide : Monaco, l’argent, les filles, le luxe, l’alcool – ce qui documente évidemment la réputation de ce minuscule état souverain qui – nous vous en avons parlé sur France Info – a été placé cette semaine sur la liste établie par la Commission européenne des pays à haut risque en termes de blanchiment d’argent.

Et si l’on sort des frontières de la francophonie, on va retrouver des éléments concordants avec ce que l’on vient d’entendre, par exemple chez Bad Bunny en 2023 sur son titre Monaco – le clip a été vu plus de 160 millions de fois sur YouTube.

Dans cet épisode de Ces chansons qui reviennent, vous entendez des extraits de :

Soleil noir, Monaco, 2024

Bad Bunny, Monaco, 2023

Kaaris, Monte-Carlo, 2021

Naps, Monaco, 2021

Aya Nakamura feat. Niska, Monaco, 2019

Michel Sardou, Happy Birthday, 1987

Lucienne Delyle, Monte-Carlo, 1950

Jean-François Maurice, 28° à l'ombre, 1978

Jean Lumière, Une nuit à Monte-Carlo, 1931

Joe Dassin, Il faut naître à Monaco, 1976

Marianne Oswald, La Dame de Monte-Carlo, 1936

Lucienne Delyle, Monte-Carlo, 1950

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