Des chansons au pied de Beaubourg

Alors que le Centre Pompidou va fermer pour plusieurs années, revenons sur une mythologie qui concerne moins l'établissement culturel que son quartier.

Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Le Centre Pompidou (RICHARD I'ANSON / THE IMAGE BANK UNRELEASED GETTY IMAGES)
Le Centre Pompidou (RICHARD I'ANSON / THE IMAGE BANK UNRELEASED GETTY IMAGES)

En 1980, Jean Guidoni regarde passer les filles rue Saint-Martin, près de Beaubourg...

Nous vous en avons parlé sur France Info : le centre Pompidou ferme en septembre pour travaux et un colossal déménagement d’œuvres d’art a déjà commencé. C’est l’occasion de replonger dans ces chansons qui évoquent non seulement un équipement culturel recevant des visiteurs par an, mais aussi un quartier, une ambiance, et même une mythologie.

 

Dans le second épisode de Ces chansons qui font l’actu ce week-end, vous entendez des extraits de :

 

Jean Guidoni, Djemila, 1980

Jean Guidoni, Allée des coquelicots, 1984

Oberkampf, Couleurs sur Paris, 1984

Bérurier noir, Mineurs en danger, 1988

Georges Moustaki, L'Instrument de malheur, 1984

Leeroy, Rasta blanc, 2016

Angèle, Bruxelles je t'aime, 2021

Caetano Veloso, Eu seu neguinha?, 1987

Swift Guad, Paris mon amour, 2015

Monsieur R, Poésie urbaine, 2016

Lord Esperanza, Hors de portée, 2015

Jean-Michel Caradec, Beaubourg Street, 1979

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