Vote de confiance, budget, inéligibilité de Marine Le Pen... Le "8h30 franceinfo" de Laurent Jacobelli

Le député Rassemblement national de Moselle était l’invité du “8h30 franceinfo”, samedi 6 septembre 2025.

Article rédigé par franceinfo
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Laurent Jacobelli, député RN de Moselle était l'invité du 8.30 franceinfo samedi 6 septembre 2025 (FRANCEINFO/RADIO FRANCE)
Laurent Jacobelli, député RN de Moselle était l'invité du 8.30 franceinfo samedi 6 septembre 2025 (FRANCEINFO/RADIO FRANCE)

Laurent Jacobelli, député RN de Moselle était l’invité du “8h30 franceinfo” samedi 6 septembre 2025. Vote de confiance à François Bayrou, économies prévues dans le budget de la France, inéligibilité de Marine Le Pen pour la présidentielle de 2027, il répondait aux questions d'Hadrien Bect et Camille Vigogne. 

Alors que lundi 8 septembre, le gouvernement du Premier ministre François Bayrou risque de tomber lors d'un vote de confiance à l'Assemblée nationale, Laurent Jacobelli affirme que cette échéance signifie "beaucoup d'espoir pour notre pays, beaucoup d’espoir de stabilité, d’investissement, d’économie qui redémarre, de pouvoir d'achat, de sécurité, de protection de notre identité et de lutte contre l'immigration subversive." 

"Il faut une majorité dans ce pays"

Pour le député RN de Moselle, il faut absolument une dissolution et de nouvelles élections législatives si Emmanuel Macron se refuse à démissionner "pour qu'on ait une nouvelle Assemblée nationale, il faut une majorité à ce pays". Ce retour aux urnes est la "seule manière" d’obtenir une majorité, même s'"il n’y a aucune garantie", estime l'élu du parti d'extrême droite.

La nomination d'un Premier ministre socialiste serait "le pire bras d'honneur qui sera fait à la démocratie" selon Laurent Jacobelli pour qui le PS "a fait aux dernières élections présidentielles 1,67 %. Il peut se réunir dans une cabine téléphonique" et "est devenu un groupuscule affilié à la France insoumise". Le retour du Parti socialiste au pouvoir serait donc le signe "qu'il y a quelque chose d'abîmé dans notre démocratie" selon le député de Moselle.

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