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Débat de la primaire à droite : "Je voudrais qu'on respecte les temps de parole" (Nathalie Kosciusko-Morizet)

8h30 Aphatie Jean-Michel Aphatie Du lundi au vendredi à 8h30

Le premier débat télévisé de la primaire à droite a rassemblé 5,6 millions de téléspectateurs, jeudi soir sur TF1. Invitée de franceinfo, vendredi 14 octobre, l'une des sept candidats, Nathalie Kosciusko-Morizet a demandé le respect des temps de parole.

franceinfo

Radio France

Publié le 14/10/2016 11:30

Temps de lecture : 2min

Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate à la primaire de la droite, présidente du groupe LR au conseil de Paris. (Jean-Christophe Bourdillat / Radio France) — Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate à la primaire de la droite, présidente du groupe LR au conseil de Paris. (Jean-Christophe Bourdillat / Radio France)

Les sept candidats de la primaire de la droite se sont confrontés, jeudi 13 octobre au soir, lors d'un premier débat télévisé. Nathalie Kosciusko-Morizet, invitée de franceinfo, vendredi 14 octobre, dénonce le non- respect des temps de parole.

#PrimaireLeDebat Temps total (en min) de prise de parole des 7 candidats lors du 1er débat:
➡️ le + bavard: Sarkozy
➡️ la + discrète: NKM pic.twitter.com/ws2Govi5Tq
— franceinfo (@franceinfo) 14 octobre 2016

Deux minutes de différence entre son temps et celui de Nicolas Sarkozy

"Je voudrais qu'on respecte les temps de parole", a demandé Nathalie Kosciusko-Morizet. "Hier, il y avait deux minutes de différence, entre le candidat qui a parlé le plus [Nicolas Sarkozy] et la candidate, car c'est une candidate, tiens, c'est un hasard, qui a parlé le moins", a constaté la députée de l'Essonne. "Je dis ça, je ne dis rien. Mais deux minutes, sur quinze minutes, c'est quand même beaucoup."

#PrimaireLeDebat "Je voudrais qu'on respecte les temps de parole" dit @nk_m qui a 2 minutes d'écart avec Sarkozy pic.twitter.com/2Xu96lcTTf
— franceinfo (@franceinfo) 14 octobre 2016

Le passage sur les affaires judiciaires a "un peu mis mal à l'aise" NKM

Les affaires judiciaires dans lesquelles sont évoquées les noms de plusieurs candidats ont représenté la partie la plus animée du débat. "Ça m'a mis un peu mal à l'aise", a réagi Nathalie Kosciusko-Morizet, une des candidats. "Il y a eu un moment tendu, a reconnu la députée Les Républicains de l'Essonne. Je me suis demandée quelle impression en gardait le public. Il y a eu plusieurs minutes d'échange sur les affaires, les mises en examen (...) Ça m'a mis un peu mal à l'aise".

Nathalie Kosciusko-Morizet faisait notamment référence au moment où Bruno Le Maire a demandé un extrait de casier judiciaire pour les candidats à la présidentielle et à l'affaire Bygmalion.

Affaires judiciaires évoquées pendant #PrimaireLeDebat : "Ça m'a mis un peu mal à l'aise" dit @nk_m #8h30Aphatie pic.twitter.com/hABzLclNxV
— franceinfo (@franceinfo) 14 octobre 2016

Un débat plutôt intéressant pour NKM avec quelques regrets tout de même

Nathalie Kosciusko-Morizet a expliqué avoir trouvé ce débat "plutôt intéressant", malgré quelques regrets : "Il y a quelques sujets sur lesquels je suis restée sur ma faim. Je regrette que l'on n'ait pas du tout parlé d'éducation, je regrette que l'on n'ait pas du tout parlé de santé, je regrette que l'on n'ait pas du tout parlé d'Europe."

#PrimaireLeDebat @nk_m "reste sur (sa) faim" "Je regrette qu'on ait pas parlé d'éducation, de santé et d'Europe" pic.twitter.com/ZtlwddlZDM
— franceinfo (@franceinfo) 14 octobre 2016

Il reste encore deux débats entre les sept candidats à la primaire à droite, une perspective qui réjouit Nathalie Kosciusko-Morizet : "Je suis heureuse qu'il y en ait d'autres, parce qu'on n'a pas pu tout se dire".

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