Assassinat de Charlie Kirk aux Etats-Unis : la traque du meurtrier

Publié le 12/09/2025 16:10

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France 2 - V. Astruc, @RevelateursFTV, T. Aubriot. Édité par l'agence 6Medias

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Aux États-Unis, la chasse à l'homme continue pour retrouver le meurtrier de l’influenceur républicain Charlie Kirk, assassiné le 10 septembre. La police fédérale a diffusé la photo du suspect et promet une récompense de 100 000 dollars pour toute information permettant son arrestation.

Ce texte correspond à une partie de la retranscription du reportage ci-dessus. Cliquez sur la vidéo pour la regarder en intégralité.

Une vidéo montre le suspect en train de courir sur le toit d'où il aurait tiré. La scène a lieu juste après l'assassinat de Charlie Kirk. On le voit ensuite descendre, puis courir sur le gazon pour rejoindre une zone arborée avant de disparaître. Le FBI a aussi rendu publiques des photos du suspect. Sa casquette et ses lunettes rendent son identification difficile. Les clichés ont été pris avant le meurtre. Un fusil de chasse a été retrouvé.

Lors d'une conférence de presse, les autorités en appellent aux Américains. "Le FBI offre une récompense de 100 000 dollars pour toute information menant à l'arrestation du meurtrier de Charlie Kirk. Nous avons besoin de toute l'aide possible", indique Spencer Cox, gouverneur de l’Utah (États-Unis).

Une affaire nationale

Deux jours après le meurtre, la traque se poursuit. Pour l'heure, l'identification et la localisation du tueur demeurent inconnues. Donald Trump n'a pas de mots assez durs pour désigner l'assassin. "C'est un animal, un véritable animal, et j'espère qu'ils vont le trouver. Ce qu'il a fait est honteux", lance le président des États-Unis.

Jeudi 11 septembre, le cercueil de l'influenceur de la droite radicale est arrivé dans l'avion officiel du vice-président J. D. Vance à Phoenix, le siège du mouvement de jeunesse qu'il avait fondé. Donald Trump a annoncé qu'il assisterait à l'enterrement de celui qu'il a qualifié de "martyr de la liberté". Sans attendre les résultats de l'enquête, le président américain montre du doigt la gauche américaine qui, pourtant, dénonce à l'unisson cet assassinat devenu affaire nationale.