: Vidéo Covid-19 : "Si on avait attendu un mode de vaccin plus classique, peut-être qu'on serait plus efficaces", regrette Alexis Corbière
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Le député La France insoumise s'interroge notamment sur la pertinence de la campagne de vaccination qui démarre lentement en France.
"Si on avait légèrement attendu un autre mode de vaccin plus classique, peut-être qu'on serait plus efficaces", estime Alexis Corbière, député La France insoumise de Seine-Saint-Denis, sur franceinfo mercredi 30 décembre. Alors que la campagne de vaccination contre le Covid-19 a débuté dimanche en France, il considère que "ce n'est pas une course de vitesse, c'est une question d'efficacité". La France et l'Union européenne ont "fait le choix d'un nouveau type de vaccin, l'ARN messager, qui est totalement révolutionnaire. Il a peut-être des potentialités intéressantes, mais il y a une absence de recul sur les conséquences."
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Alexis Corbière s'interroge aussi sur la pertinence de la campagne de vaccination qui démarre lentement en France : "On nous dit que pour arriver à une vaccination efficace, il faut qu'on vaccine 36 à 40% de la population, sinon ça ne sert à rien. Nous sommes actuellement à un rythme très faible. S'il faut un an pour arriver à ce taux de vaccination de la population, et qu'on nous dit qu'au bout d'un an ce vaccin a perdu son efficacité, je ne comprends pas bien", s'interroge-t-il même s'il admet que la protection des personnes vaccinées contre le virus, "c'est déjà pas mal".
Pour autant, certaines données ne sont pas suffisamment claires et transparentes pour le député LFI : "Pourquoi l'Union européenne investit 23 milliards d'euros d'argent public en faisant le choix de certains laboratoires ? Pourquoi on n'a pas investi sur d'autres types de vaccins ?" Et il critique "des choix politiques plus que scientifiques".
"Comme tout le monde, je me pose des questions."
Alexis Corbièreà franceinfo
Le député de Seine-Saint-Denis estime qu'il "ne faut pas mépriser ceux qui se posent des questions" car "si on veut obtenir une adhésion à des politiques de santé publique, que les gens acceptent d'être vaccinés, ce que globalement moi je souhaite, il faut répondre à ces questions". Le problème selon Alexis Corbière, c'est que "le gouvernement a affaiblit sa parole, parce qu'il nous a vendu des mensonges comme étant des vérités, je rappelle l'épisode douloureux des masques par exemple."
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