: Vidéo "Les gens en ont marre" : la colère de Robert de Niro envers la politique de Donald Trump
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Invité d'honneur au festival du film de Marrakech, Robert de Niro s'est entretenu avec Brut au sujet de la politique menée par Donald Trump aux États-Unis.
Les relations entre Donald Trump et Robert de Niro sont loin d'être apaisées. Invité d'honneur au festival du film de Marrakech, l'acteur n'a pas caché son hostilité envers le président des États-Unis. Il a notamment expliqué pourquoi il était si critique envers lui et appelle les Américains à se rebeller. "Je pense vraiment qu'il est déconnecté", explique-t-il. "Mais je ne pourrais vraiment en être certain que si je parlais face à face avec lui, ce qui ne me poserait aucun problème." Dans une telle situation, "[il] lui dirai[t] juste : quel est votre problème ? Ne réalisez-vous pas que certaines choses que vous dites et faites ne font de bien à personne ?"
"Je suis fier d’Obama et de Bush père"
L'acteur oscarisé est également revenu sur la mort de George H.W. Bush, le 41ème président des États-Unis, qu'il perçoit comme "une personne bienveillante qui n'a pas toujours su prendre les bonnes décisions. Mais [qui] a fait de son mieux." Même chose pour Barack Obama qui "voulait faire ce qui était juste pour tous les Américains." Aujourd'hui, Robert de Niro se dit "fier de Barack Obama et de George Bush père […] On peut reprocher des choses à chacun d'eux, mais ils ont fait ce qu'ils ont pu pour garder ce pays sur de bon rails." Ce qui est loin d'être le cas de l'actuel président américain selon l'acteur.
Je me sens si profondément offensé par le comportement de cette personne et ce qu'il a fait pour démolir l’Amérique et ses institutions.
Robert de Niroà Brut
Pour protester contre cette politique qu'il juge néfaste, Robert de Niro invite tous les Américains mécontents à se rebeller en faisant entendre leur voix et en prenant la parole. Une rébellion à laquelle l'acteur a déjà pris part comme il l'a démontré en déclarant "Fuck Trump" lors de la 72ème cérémonie des Tony Awards, en juin dernier. : "Ça ne me plaît pas particulièrement de faire ça", concède l’acteur américain. Selon lui, "ça va se passer comme dans les années 1960. On l'a vu juste après son investiture, de telles manifestations… Les gens en ont marre."
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