Donald Trump en visite d'État au Royaume-Uni : un banquet royal fastueux offert au couple présidentiel américain à Windsor mercredi soir
Le faste de la monarchie britannique déployé pour Donald Trump, en pleine visite d'État au Royaume-Uni. Un fastueux banquet d'État s'est tenu mercredi soir au château de Windsor en compagnie du président américain et de son épouse Melania. Le point d'orgue du séjour, avec un menu en français dans le texte et 160 invités.
Ce texte correspond à une partie de la retranscription du reportage ci-dessus. Cliquez sur la vidéo pour la regarder en intégralité.
Le faste royal est à son apogée pour le plus grand plaisir de Donald Trump, reçu comme un roi pour sa seconde visite d'État au Royaume-Uni. Le prestigieux St George's Hall a acceuilli mercredi 17 septembre au soir un banquet grandiose, avec 160 invités, et une tenue de soirée remarquée : la robe jaune portée par Melania Trump. Une table de 50 mètres tirée au cordeau et un menu célébrant les liens entre Britanniques et Américains ont été proposés pour l'occasion. Comme un ami, le roi Charles III s'autorise même une petite blague adressée au président."Monsieur le Président, vous avez évoqué votre fierté d'avoir des racines britanniques. Et je crois comprendre que le sol britannique offre des terrains de golf plutôt splendides", a glissé le souverain dans son discours.
Une opération séduction réussie
Un spectacle royal que Charles III a offert à Donald Trump tout au long de la journée. Balade en carrosse, défilé militaire d'une ampleur inédite, le tout dans l'enceinte du château de Windsor, sous haute protection, loin des regards, sécurité oblige. Opération séduction pour un président dont la fascination pour la royauté britannique est bien connue.
"Cette deuxième visite d'État est une première. Et peut-être la dernière, j'espère. C'est vraiment l'un des plus grands honneurs de ma vie", a assuré Donald Trump mercredi soir.
Mais l'objectif de cette visite d'État reste bien diplomatique et politique. Opération déjà réussie pour le Royaume-Uni, qui s'est assuré un investissement américain de 170 milliards d'euros hier soir, avant même la rencontre entre Donald Trump et du Premier ministre britannique, Keir Starmer, jeudi 18 septembre.
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