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Barack Obama a invité, en août à Washington, 18 dirigeants africains pour fêter les 50 ans d'indépendance de leurs pays

C'est ce qu'a annoncé vendredi un haut responsable de l'administration américaine en marge du .Barack Obama, qui participait vendredi aux travaux de la première journée du sommet du G8, élargi dans l'après-midi à plusieurs pays africains (Sénégal, Malawi, Algérie, Ethiopie, Nigeria...); a saisi l'occasion pour faire cette annonce.

France2.fr avec agences

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Publié le 26/06/2010 10:01

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Les leaders du G8 se mêlent avec des dirigeants africains, lors du sommet de Huntsville, au Canada (25/06/10) (AFP / Luke Sharret)

C'est ce qu'a annoncé vendredi un haut responsable de l'administration américaine en marge du .

Barack Obama, qui participait vendredi aux travaux de la première journée du sommet du G8, élargi dans l'après-midi à plusieurs pays africains (Sénégal, Malawi, Algérie, Ethiopie, Nigeria...); a saisi l'occasion pour faire cette annonce.

"Le président va organiser un événement cet été à Washington, au début du mois d'août" pour marquer le 50e anniversaire de l'indépendance de ces anciennes colonies, a indiqué le responsable américain sous couvert de l'anonymat, en précisant que 18 pays étaient concernés par l'invitation. "Il ne s'agira pas simplement de marquer le 50e anniversaire de ces indépendances mais aussi de se projeter vers l'avenir et d'inviter de jeunes dirigeants de tous ces pays à débattre de l'avenir", a dit un membre de la délégation américaine.

"Le président a commencé ainsi, il a dit 'nous allons organiser un événement avec de nouveaux dirigeants africains, pour commémorer le 50e anniversaire en août. J'aurai 49 ans en août'", a indiqué ce responsable, en précisant que Barack Obama avait aussi rappelé que son père était l'un des premiers Africains de sa génération à être allé aux Etats-Unis.

Depuis les indépendances, "il y a eu beaucoup de déceptions, beaucoup de frustrations, et maintenant 50 ans plus tard, nous voulons faire en sorte de repartir du bon pied", a encore dit ce responsable, citant le président américain.