Grève à la SNCF, Pôle Emploi et France Télécom
A la SNCF, 23,75% des salariés étaient en grève mardi selon la direction, 31,6% selon la CGT
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A la SNCF, 23,75% des salariés étaient en grève mardi selon la direction, 31,6% selon la CGTA la SNCF, 23,75% des salariés étaient en grève mardi selon la direction, 31,6% selon la CGT
La compagnie a annoncé dans un communiqué que le trafic des trains serait "totalement normal" mercredi matin.
Les syndicats de Pôle Emploi (34,5% de grévistes (direction), environ 40% (Snu-Fsu) et France Télécom ont aussi appelé à une journée d'action pour protester contre les restructurations dans leur entreprise.
Trafic conforme aux prévisions mardi matin
La première grève nationale à la SNCF depuis novembre 2008 à l'appel de la CGT, la Fgaac-CFDT et Sud Rail a entraîné mardi matin des perturbations conformes aux prévisions avec en moyenne deux trains sur trois qui circulent, a annoncé la compagnie.Voir aussi les sites internet www.sncf.com pour les liaisons nationales et régionales et www.abcdtrains.com pour celles de la région parisienne.
Guillaume Pépy "croit au dialogue social"
Interrogé sur France 2 lundi, le président de la SNCF, Guillaume Pépy, a estimé qu'un tiers des cheminots seraient grévistes mardi, tout en soulignant que le service garanti fonctionnerait, conformément à la loi.
Il a également réaffirmé sa volonté de négocier sur le dossier, soulignant que la concertation avait déjà apporté des résultats. "On a beaucoup discuté, et on va continuer à discuter. La preuve, c'est que le deuxième syndicat de la SNCF, l'Unsa (autonomes), a jugé que les résultats de la négociation étaient suffisants pour ne pas participer à la grève de demain," a-t-il souligné.
"Moi, je crois au dialogue social. On va donc continuer. Vous savez, la SNCF est dans une pleine transformation, il y a le fret, mais il y a aussi le développement du service public demain," a-t-il ajouté.
Interrogé sur les spéculations de suppressions de postes le patron de la SNCF a répondu: "Il n'y a pas de sureffectifs à la SNCF. Et chaque cheminot qui est concerné par cette transformation se verra affecté à d'autres tâches, parce qu'on a besoin de tous les cheminots."
Ce n'est pas l'avis des syndicats qui redoutent, depuis l'annonce fin septembre d'un "plan de développement du fret" par la SNCF, quelque 6.000 "suppressions d'emplois" dans cette branche.
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