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Vidéo Présidentielle 2022 : "Le programme d'Emmanuel Macron, c'est le grand reniement, le grand oubli, et le grand aveu", lance Eric Zemmour

Publié le 17/03/2022 21:12 Mis à jour le 18/03/2022 10:21

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franceinfo

France Télévisions

Invité de l'émission "Elysée 2022" sur France 2, jeudi soir, le candidat d'extrême droite à l'élection présidentielle a réagi à la présentation du programme du président sortant, quelques heures plus tôt.

Il a évoqué une présentation "ennuyeuse", comme "un texte de Premier ministre". Le candidat d'extrême droite à l'élection présidentielle Eric Zemmour, fondateur du parti Reconquête !, a réagi au programme du président sortant, candidat à sa réélection, Emmanuel Macron, jeudi 17 mars dans l'émission "Elysée 2022", sur France 2.

A un peu plus de trois semaines du premier tour du scrutin, le dirigeant français a présenté son programme (une trentaine de mesures) lors d'une conférence de presse aux Docks de Paris, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), jeudi après-midi. Réforme du RSA, âge légal de départ à la retraite à 65 ans, transformation de Pôle emploi, lutte contre les inégalités : Emmanuel Macron a développé pendant plus d'une heure et demie son projet qu'il évalue à "50 milliards d'euros" d'ici à 2027, et à "15 milliards de baisses d'impôts pour les entreprises et les ménages".

"Le vrai débat, c'est entre lui et moi"

"Il a bien compris que le vrai débat, c'était entre lui et moi", a affirmé Eric Zemmour. Ce dernier revenait notamment sur la phrase d'Emmanuel Macron : "Nous ne voulons pas revenir à notre enfance mais nous occuper de l'avenir de nos enfants". "Pour moi, c'est le fond de l'affaire. Je veux transmettre à nos enfants et petits-enfants le meilleur de la France de notre enfance", a défendu l'ancien polémiste sur France 2.

"Emmanuel Macron, lui, veut tout détruire, tout saccager. Il pense que chaque génération doit détruire la France d'avant, a-t-il lancé. C'est ça notre débat fondamental." "Le programme d'Emmanuel Macron, c'est le grand reniement, le grand oubli, et le grand aveu", a-t-il ajouté.