Après les avoir jugés "trop haineux", Franck Dubosc se dit désormais "soutien" des "gilets jaunes" dans "TPMP"
Insulté en ligne après une vidéo où il critiquait les "gilets jaunes", le comédien s'est excusé sur C8, expliquant qu'il avait toujours soutenu le mouvement.
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"Je peux peut-être vous apporter un tout petit peu, avec mes petits bras d'acteur, mes petits bras de clown." Insulté en ligne après une vidéo où il critiquait les "gilets jaunes", Franck Dubosc s'est excusé dans l'émission "TPMP" sur C8, lundi 10 décembre, expliquant qu'il avait toujours soutenu le mouvement. "C'est l'erreur d'un homme qui a eu peur", a-t-il souligné, très ému, avant d'enfiler un gilet jaune tendu par des représentants du mouvement présents sur le plateau.
"Je vis dans la même France que vous" @dubosc_franck #TPMP pic.twitter.com/sMayoIz1Q7
— TPMP (@TPMP) 10 décembre 2018
Le 27 novembre, l'humoriste avait publié une vidéo dans laquelle il s'adressait aux "gilets jaunes" : "Moi je fais partie des privilégiés, c'est vrai, mais je sais d'où je viens, je sais ce que vous vivez, je l'ai compris et je le comprends. On va faire quelque chose!". Un message qui lui avait valu de nombreuses insultes, certains y voyant une tentative de récupération, rappelle le Huffington Post.
"Moi je ne parle jamais de politique"
Quelques jours plus tard, lors d'une séance de dédicace en Suisse après un spectacle, il avait répondu non à un homme venu lui demander de soutenir le mouvement en parrainant une émission. "Les 'gilets jaunes', c'est du passé, lui avait-il lancé, s'attirant à nouveau les foudres sur les réseaux sociaux. Ils sont trop haineux, trop hargneux. A dégager !"
Il s'en est expliqué sur le plateau de "TPMP" : "Moi je ne parle jamais de politique, je ne fais jamais de politique. Je suis un clown. J'ai reçu ces messages de haine, et je me suis trouvé affaibli. Je n'ai pas l'habitude de cela, je suis juste un clown. On me dit qu'on m'aime, ou pas, que je fais rire, ou pas", a-t-il expliqué. "En porte-parole, je n'ai pas les épaules, je vous desservirais. Mais en soutien, ça volontiers", a-t-il ajouté à l'adresse des militants "gilets jaunes" invités.
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