Le journaliste a annoncé mardi à l'AFP qu'il quittait l'émission matinale de France Inter
Il part avec "un sentiment de mission accomplie", mais reste sur la station avec un autre projet. Nicolas Demorand anime aussi l'émission C politique sur France 5, et continuera à la rentrée prochaine.La SDJ de France Inter se dit inquiète pour la grille de rentrée de la radio.
Il part avec "un sentiment de mission accomplie", mais reste sur la station avec un autre projet. Nicolas Demorand anime aussi l'émission C politique sur France 5, et continuera à la rentrée prochaine.
La SDJ de France Inter se dit inquiète pour la grille de rentrée de la radio.
"Cette décision vient à la fois de ce que j'appelle ce sentiment de mission accomplie et du fait que j'ai une vie monacale", a-t-il expliqué, soulignant qu'il faisait de la radio le matin depuis 8 ans, d'abord à France Culture avant d'intégrer France Inter.
"J'ai le sentiment d'un mission accomplie à France Inter, puisque, sur lefond, ces quatre dernières années, j'ai pu faire une radio différente, singulière dans le paysage", a ajouté le journaliste qui a fortement développé l'audience de la tranche horaire 6h30/10h.
Nicolas Demorand, 39 ans, ancien élève de Normale Sup et agrégé de lettres modernes, a également indiqué avoir un projet de magazine à France Inter qu'il a soumis à Philippe Val, le patron de la chaîne.
La SDJ fait part de l'"inquiétude" de la rédaction
La Société des journalistes de France Inter a estimé mardi dans un communiqué que l'annonce du départ de Nicolas Demorand de la matinale "ne fait que renforcer l'inquiétude de la rédaction" et "alourdir un peu plus le climat très pesant" à la station. "Comment gérer un tel retrait au mois de juin alors que la préparation de la grille a déjà pris tant de retard ?", s'interroge-t-elle.
"Beaucoup d'entre nous se posent des questions sur la rentrée, et notamment sur le devenir de deux émissions auxquelles la rédaction est très attachée: 'Esprit critique' et 'Et pourtant elle tourne'", relève encore la SDJ, affirmant n'avoir pas pu obtenir "de réponses claires sur leur pérennité". La SDJ promet d'être "extrêmement" vigilante "sur les méthodes employées pour préparer la prochaine grille".
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