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Scandale Volkswagen : trois questions sur les tests aléatoires voulus par Ségolène Royal

La ministre de l'Ecologie veut vérifier que d'autres constructeurs ne trichent pas avec les tests antipollution.

franceinfo avec AFP

France Télévisions

Publié le 25/09/2015 10:59 Mis à jour le 25/09/2015 10:59

Temps de lecture : 1min

Un militant de Greenpeace manifeste devant le siège de Volkswagen, le 25 septembre 2015 à Wolfsbourg (Allemagne). (JOHN MACDOUGALL / AFP)

Des tests aléatoires contre les constructeurs malhonnêtes. Après le scandale Volkswagen, la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a annoncé qu'une centaine de voitures seraient testées au hasard pour vérifier qu'elles respectent bien les normes antipollution. "Le but est de faire toute la clarté sur l'absence de fraude", explique la ministre.

Une initiative qu'elle a détaillée vendredi 25 septembre sur Europe 1.

Comment vont être choisis les véhicules ?

Ces tests porteront sur "cent voitures" vendues en France, toutes marques confondues. Les véhicules seront tirés au sort "à partir des plaques d'immatriculation", explique la ministre.

Qui dirigera cette évaluation ?

Pour assurer le bon déroulement de ces tests, "une commission indépendante va être mise en place pour suivre les évaluations, détaille Ségolène Royal. Les constructeurs en sont d'accord puisqu'ils ont intérêt à faire la transparence."