Des aides-soignants veulent un statut d’autoentrepreneur que le gouvernement leur refuse
Ils proposent leurs services à des Ehpad en passant par des plateformes. Un statut choisi pour être plus libres et mieux payés qu'en CDI ou en intérim. Le problème c'est que ce statut d'autoentrepreneur ne serait pas légal et les autorités tentent d’y mettre fin. À gauche, des politiques dénoncent "l'ubérisation" de la santé.