Qualifications du Mondial 2026 : dans quel scénario l'équipe de France peut-elle se qualifier contre l'Ukraine ?

Un bon résultat contre l'Ukraine, à la mi-novembre, ouvrirait les portes du Mondial américain aux joueurs de Didier Deschamps.

Article rédigé par Andréa La Perna
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
Didier Deschamps lors de la conférence de presse d'avant-match en Islande, le 12 octobre 2025, à Reykjavik. (FRANCK FIFE / AFP)
Didier Deschamps lors de la conférence de presse d'avant-match en Islande, le 12 octobre 2025, à Reykjavik. (FRANCK FIFE / AFP)

La première opportunité de valider son billet s'est envolée avec le match nul concédé en Islande (2-2), lundi 13 octobre, mais ce n'est que partie remise. L'équipe de France pourrait assurer sa participation à la Coupe du monde 2026 en Amérique du Nord dès son prochain match, à domicile contre l'Ukraine, jeudi 13 novembre.

Seul le premier du groupe D, composé de quatre équipes, aura son billet validé. A deux journées de la fin, les Bleus comptent trois points d'avance sur leur prochain adversaire. Seule une victoire leur délivrera officiellement le sésame pour le Mondial puisqu'en cas d'égalité, c'est la différence de buts totale qui départage les équipes [lien en anglais] et non la différence de buts particulière.

Un nul serait insuffisant

En effet, en cas de match nul face à l'Ukraine, les Bleus compteraient toujours trois points d'avance à un match de la fin de la phase de qualification. Malgré une différence de buts favorable (+6 contre +1), une remontée ukrainienne resterait alors possible même si elle requiert un concours de circonstances hautement improbable lors de la dernière journée : une défaite de la France contre l'Azerbaïdjan, une victoire de l'Ukraine contre l'Islande et six buts remontés au goal-average.

La France vise une 17e participation à la Coupe du monde de football, dont elle n'a plus été absente depuis 1994, et le Mondial aux... Etats-Unis. Ce serait alors la quatrième Coupe du monde consécutive pour Didier Deschamps sur le banc de la sélection tricolore.

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